Nouvelle écoute critique de disques

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The Very Best of Louis Armstrong

2 fois 20 titres pour une compilation assez large datant de 1998, bien enregistrés, allant du "Nouvelle Orléans" avec High Society et When the Saints go marching in ou encore Basin Street Blues à ses plus grands succès avec What a wonderful World ou Hello Dolly ou encore à la variété la plus sirupeuse.

Ambassador Ce n'est pas le Louis Armstrong que je préfère.

Remettons vite Ambassador Satch, où la prise de son de 1955, pendant sa tournée en Europe (enregistrements au Concertgebow d'Amsterdam et au Théâtre de Milan) et en live, n'est pas exemptes de défaults.

Avec ce point de départ un peu "brut de fonderie", riche en harmoniques élevées et en distorsion, la PS 1 ne fait pas de miracle mais limite les dégâts: l'impression est exactement la même qu'avec le vinyle.

Revenons un peu sur le contenu, vraiment exceptionnel: on trouve, à côté de Louis, Trummy Young au trombone, Edmond Hall à la clarinette, Billy Kyle au piano, Arvell Shaw à la basse et enfin Barrett Deems à la batterie.

Le disque réunit 10 standarts: Royal Garden Blues, Tin Roof Blues, Muskrat Ramble, All of me, Twelfth Street Rag, Dardanella, sont les plus remarquables en plus de West End Blues parfait.

Dans ce cas, la qualité des exécutants et l'ambiance compense largement la qualité assez moyenne de l'enregistrement.

Where did you leave heaven, Lisa Ekdahl, Peter Nordhal Trio, RCA

Ekdahl Sorti en 1996 cet album a fait connaître Lisa Ekdahl et son timbre si particulier en France.

La qualité du trio, très "cool", et un choix sans risque dans les standarts du Jazz ont assuré le succès de ces Suédois.

Ambiance détendue, maîtrisée, douceur, rien ne dépasse ni ne dérange, c'est l'opposé du précédent.

Même le son est un peu sourd, c'est feutré et rafraichissant.

C'est tout pour aujourd'hui! A bientôt!

Lecteur CD nouveau genre/ 4

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